El Barrio, Le journal citoyen de l’Amérique Latine

Posté: novembre 13th, 2011 | Auteur: | classé dans: 2000 (années), 2010 (années), Consultation : CEDRATS, Solidarité internationale | Mots-clés: | Commentaires fermés sur El Barrio, Le journal citoyen de l’Amérique Latine

Journal de l’association « Association Conexión, » créée en 2001 par des étudiants de l’INSA de Lyon, dans un but de solidarité et d’échanges culturels avec l’Amérique Latine.

1ère année de publication : 2001 / DNA : 2011

Site de l’association www.elbarrio.assoconexion.org

Consultation : CEDRATS


Enragez-Vous !

Posté: novembre 16th, 2011 | Auteur: | classé dans: Antimilitarisme - Non-violence | Mots-clés: | Commentaires fermés sur Enragez-Vous !

« Une armée, une police, une justice, un État, au nom de quoi ? Au nom de qui ? De quel droit ? Leur armée, leur justice, leur police, leur État, tout cela ne nous concerne pas. Nous ne reconnaissons à personne le droit de disposer de notre vie et de notre liberté, même partiellement. Nous nions à des militaires le droit de nous obliger à donner un an de notre vie en vertu de notions qui nous sont totalement étrangères. Nous nions à des policiers (dont l’intégrité pourrait encore être remise en cause) le droit de nous arrêter, de nous brutaliser et de nous incarcérer arbitrairement. Nous nions enfin le droit à des magistrats de nous juger, et qui plus est, de nous condamner. Nous refusons, avec tout ce que cela implique de détermination et de violence leur « égalité ». À la place de leur « légalité », nous avons choisi notre illégalité. Nous sommes les hors-la-loi de leur société pourrie. »

Samedi 25 Novembre 1972 – 17h : « Nous sommes à monter à l’aide d’une échelle sur la plateforme EDF-GDF, place de la République. Après avoir déployé deux banderoles « Non à l’armée, insoumission collective » et « L’armée, chien de garde du système », nous lisons la lettre collective proclamant notre intention de nous insoumettre ainsi que différents textes. Une cinquantaine de camarades distribuent sur les trottoirs le tract : « Nous ne nous soumettrons pas ». Plusieurs fourgons de police arrivent une demi-heure plus tard sur les lieux. Ils commencent par tenter de disperser la foule qui s’est amassée sur les trottoirs et interpelle sans aucun ménagement une vingtaine de manifestants ainsi que des passants. Une heure et demie plus tard, après trois sommations, le commissaire fait appel à un service de dépannage qui ouvre les portes de l’appartement dont les fenêtres donnent sur la plateforme. C’est alors qu’une dizaine de policiers, après nous avoir frappé dans le ventre pour nous faire lâcher prise, nous empoignent un par un par la tête, les cheveux, les bras et les jambes, et nous traînent ainsi pendant une dizaine de mètres sur la plateforme jusqu’à une fenêtre par laquelle ils nous jettent à l’intérieur. Là encore, dans l’obscurité d ‘un couloir, nous sommes frappés à coups de poings, de pieds et de matraques. Nous roulons plus que nous descendons l’escalier de l’immeuble, et nous sommes jetés dans un car. Des membres du Garm, qui n’avaient pas encore été embarqués, se jettent devant les cars de police et se couchent par terre. La foule hostile à la brutalité bestiale des forces de l’ordre, entoure les fourgons de très près. L’un d’entre nous, plus sévèrement touché, saigne abondamment de la tête. Arrivé au commissariat, alors que notre camarade, que nous avions étendu sur une table se trouve dans un état de plus en plus alarmant et demande à être emmené d’urgence à l’hôpital, on le fait encore attendre une bonne heure pour le transporter au pavillon d’urgence d’Edouard Herriot, atteint d’un traumatisme crânien avec perte de connaissance. Les brutalités policières ne sont que l’expression de la crainte du système face au mouvement antimilitariste, et ne nous empêcheront pas de continuer de plus en plus nombreux la lutte.

À la suite de cette intervention, le camarade blessé porte plainte contre X pour coups et blessures volontaires. Évidemment, cette affaire se terminera par un non-lieu prononcé courant novembre 73. par contre six inculpations suivaient pour injures publiques envers l’action publique de la police et de l’armée. Un an après, les six membres du G.I.T. vont comparaître en correctionnelle pour répondre de ces inculpations. Le tarif normal est de 4 à 5 mois de prison. Nous sommes prêts à répondre de nos actes et de nos paroles. D’autres sont prêts à témoigner de la brutalité des forces de l’ordre. De toute façon, nous transformerons une fois de plus, le procès en tribune politique. La justice tombera-t-elle dans son propre piège ? »

Publié par le Groupe Insoumission Totale (G.I.T.)

1ère année de publication :1973

C/o Martial Gardona – BP 608 RP 69221, Lyon Cedex 1.

Contact : Martial Gardona

Consultation : La Gryffe – CEDRATS


Errata, le journal qui corrige les erreurs des autres

Posté: novembre 16th, 2011 | Auteur: | classé dans: 1970 (années), Syndicalisme | Mots-clés: | Commentaires fermés sur Errata, le journal qui corrige les erreurs des autres

Ce journal est l’expression des sections syndicales CGT-ORTF, CFDT-ORTF, CGT journalistes AIGLES et de travailleurs de l’information de l’ORTF, du Progrès, du Dauphiné Libéré, de l’Express Rhône-Alpes et de Libération, sans préjudices d’autres sections syndicales, ou d’autres camarades qui n’ont pu être contactés à temps pour la réalisation de ce numéro. Imprimé par nos soins.

numéro 0 (1976)

POURQUOI CE JOURNAL ?

« La raison essentielle est aussi simple que dramatique : les journalistes, travailleurs, techniciens de l’ORTF, et de la presse régionale, ne pouvant s’exprimer dans les organismes où ils travaillent, sont obligés de créer leur propre journal.

Parce qu’après les licenciements des journalistes de l’ORTF, ils sont décidés de ne plus se taire et d’expliquer au grand jour ce que sont ces organismes et de révéler ce que eux cachent. Qui peut le faire mieux que ceux qui y travaillent.

Pour faire vivre dans la région un organe de presse libre de tous ces pouvoirs. Ce numéro est le premier, d’autres suivront pour ce combat et faire la preuve, exemples à l’appui, des censures, pressions, mensonges qui sont le lot quotidien de cette presse.

Pour dire que la presse régionale : le Progrès, Dernière Heure, l’ORTF, etc. ce ne sont pas des entreprises qui existent dans l’abstrait en dehors de tout système politique économique, idéologique, mais au contraire qu’ils en sont les représentants les plus raffinés. »

1ère année de publication : 1976

Consultation : CEDRATS – La Gryffe

 


GARM Info

Posté: novembre 16th, 2011 | Auteur: | classé dans: Antimilitarisme - Non-violence | Mots-clés: | Commentaires fermés sur GARM Info

(Source : Projet de texte de présentation du GARM – Si on ne s’occupe pas de l’armée… elle s’occupe de nous !)

Contre l’embrigadement : « Un an d’armée, c’est pas seulement chiant, mais à travers le service national, on apprend : l’obéissance au quotidien ; à servir l’Etat, à forger le patriotisme qui profite aux classes dominantes au détriment d’une solidarité de classe (…)

L’armée assure le dressage phallocratique (culte de la virilité, frustration /compensation sexuelle durant le service…) et véhicule l’image du rôle de chef (de bataillon, de famille, du personnel), pendant que la femme pond des gosses et assure l’intendance (bouffe, fabrication des munitions, armes en temps de guerre…).

L’armée assoie son autorité sur la désignation d’un ennemi et exalte la haine, le racisme à son encontre qu’il soit à l’extérieur ou à l’intérieur.

Le pouvoir utilise le besoin légitime de sécurité pour développer une campagne sur l’in-sécurité et favoriser ainsi la peur, le repliement individuel des gens, en lui laissant les mains libres pour renforcer l’arsenal répressif. »

Contre la militarisation de la société : « développement d’une industrie de guerre (…) ; les ordonnances de 59 (…) ; la défense opérationnelle du territoire (…) ; la gendarmerie… la 4ème armée (…) ; la justice militaire (…) ; une armée jaune (…) ; occupation du terrain (…) ; la nucléarisation (…) ; la recherche kaki (…) ; contre l’armée impérialiste (…) ».

Nos objectifs : « Notre lutte vise à : l’abolition du service national ; la destruction des corps professionnels de répression ; la neutralisation du complexe militaro-industriel (…) Il y a bien sûr le refus d’obéir, mais il peut aussi y avoir le refus de commander. L’armée et les polices sont les instruments étatiques de légalisation de la violence. Pour la neutraliser, il n’est pas possible de la réformer. De même, croire qu’il faut l’infiltrer pour la retourner le jour J, contre ses oppresseurs est un leurre et ne conduit qu’à développer une nouvelle caste d’oppresseur. Reste la troisième voie… la nôtre… à définir…

Toutefois, même si ces attitudes (réformistes et révolutionnaires) ne vont pas dans le même sens, elles permettent d’affaiblir l’armée et le militarisme. Objectif tout de même souhaitable. »

1ère année de publication : 1980

C/o CEP – 44 rue Saint-Georges – 69005 Lyon.

(N°3) 15 octobre 1980.

Consultation : Observatoire des armements


Grain de sable du Rhône, le journal d’Attac

Posté: novembre 16th, 2011 | Auteur: | classé dans: 2000 (années), Alternatifs | Mots-clés: | Commentaires fermés sur Grain de sable du Rhône, le journal d’Attac

Journal de l’Association pour la Taxation des transactions financières et pour l’Aide au Citoyen.

Attac-Rhône réunit, depuis sa création le 16 janvier 1999, des femmes et des hommes, tous adhérents, venus d’horizons différents, qui ont en commun la volonté de se réapproprier le droit d’exercer le pouvoir qui fonde la réalité de la démocratie : le pouvoir politique du citoyen.
Se réapproprier le droit d’exercer le pouvoir politiqueC’est dans le champ de l’économique et du financier que le renoncement (forcé) à ce pouvoir est le plus flagrant.

Ce n’est sans doute pas anodin ! Mondialisation et dérégulation poursuivent inexorablement leur marche forcée sous la houlette de lobbies qui ne reconnaissent ni les Etats, ni leurs lois.
Qu’il s’agisse de la tentative avortée de mise en œuvre d’un Accord Multilatéral sur l’Investissement (AMI), ou du comportement profondément anti-social des grands spéculateurs, qu’il s’agisse d’imposer les fonds de pension comme solutions aux difficultés rencontrées par les régimes de retraite ou de l’existence de paradis fiscaux florissants au sein de l’Union Européenne, les citoyens et leurs représentants se voient spolier du pouvoir de décider de leur destin, au nom d’une transformation du monde présentée comme loi naturelle !
Face à ces situations ressenties par beaucoup comme une agression insupportable, les réponses citoyennes s’organisent. ATTAC en est une, d’ampleur considérable. Elle donne naissance à un mouvement dans lequel l’effervescence citoyenne se transforme en une organisation en mesure de peser sur la réalité et sur les termes de débat public.« Penser global, agir local » – La première caractéristique de notre mouvement est sa capacité à « décentraliser la protestation ». La vitesse de constitution des différents groupes locaux le démontre. Mais si chaque groupe s’autonomise très rapidement, tous ont la volonté de le faire en préservant la dimension internationale de ce mouvement citoyen, dans lequel ils s’inscrivent.
Ainsi, trois principaux axes d’intervention fédèrent les groupes locaux.Débattre – L’idée qu’il est possible de contrecarrer la logique des marchés, d’agir sur la crise financière, de faire reculer la fatalité et de placer la décision démocratique aux postes de commande de l’économie, est loin d’être majoritaire au sein de l’opinion publique (…) Plus que jamais, l’accent doit être mis sur la responsabilité première des élus et des responsables politiques, comptables devant les citoyens de leurs décisions ou de leurs non décisions. Qu’ils exposent donc leurs conceptions et se prononcent sur les objectifs et les modalités que nous mettons en avant.Agir- Là où les adhérents en expriment la volonté et où c’est possible, l’interpellation doit devenir pression, de façon spectaculaire – manifestation, occupation, sit-in ou autres.

1ère année de publication : 2002 / DN A : 2004

Périodicité bimestrielle

Attac Rhône, 44 rue Saint Georges – 69005 Lyon.

Contact : Olivier Chamarande ou Roland Calba à Attac

Consultation : CEDRATS


Graine Rhône-Alpes

Posté: novembre 13th, 2011 | Auteur: | classé dans: 2000 (années), Consultation : CEDRATS, Ecologie | Mots-clés: | Commentaires fermés sur Graine Rhône-Alpes

La revue Graine Rhône-Alpes vise à informer sur les actions du GRAINE. « Le GRAINE Rhône-Alpes est le réseau régional de l’éducation à l’environnement. Ce réseau est ouvert et regroupe toute personne ou structure intéressée : des adhérents individuels (enseignants, animateurs, éducateurs et techniciens de collectivités) ; des structures associatives ; des collectivités locales ; des entreprises…

Parmi les actions du réseau : l’information sur l’éducation à l’environnement auprès des acteurs éducatifs ; la mise en place de Journées Thématiques, l’organisation des Rencontres Rhône-Alpes de l’Education à l’Environnement et des Journées Régionales de la Pédagogie de l’Eau.

Le GRAINE Rhône-Alpes est membre du réseau national École et Nature et a organisé les 2esAssises Régionales de l’éducation à l’environnement en 2009. Il coordonnera également l’organisation des 3es Assises Nationales de l’éducation à l’environnement en 2013.

Groupe Régional d’animation et d’initiation à la nature et à l’environnement

1ère année de publication : 2000 /DNA : 2002

32 rue Sainte-Hélène – 69002 Lyon.

www.graine-rhone-alpes.org

Contact : 04 72 77 19 97info@graine-rhone-alpes.org

Consultation : CEDRATS


Grief (Le) : du rififi à la librairie libertaire ‘La Gryffe’

Posté: novembre 12th, 2011 | Auteur: | classé dans: 1990 (années), Anarchisme, Consultation : CEDRATS | Mots-clés: | Commentaires fermés sur Grief (Le) : du rififi à la librairie libertaire ‘La Gryffe’

Numéro unique publié en septembre 1999

Edité par l’association Le Grief – 11, rue de l’Annonciade 69001 Lyon

Consultation : CEDRATS, la Gryffe


Griffe (La) – Analyses et chroniques libertaires

Posté: novembre 12th, 2011 | Auteur: | classé dans: 1990 (années), Anarchisme | Mots-clés: | Commentaires fermés sur Griffe (La) – Analyses et chroniques libertaires

Revue éditée par la librairie libertaire La Gryffe. Trimestriel consacré aux chroniques de bouquins et aux analyses libertaires, il est réalisé par les membres de la librairie, mais reste ouvert à toutes les contributions.

1ère année de publication : 1996 / DNA : 2002

Dernier numéro de la revue ‘La Griffe’, intitulé « du Rififi à la librairie »

Périodicité  trimestrielle

Directeur de la publication : Norbert Bandier

Contact : Jean-Pierre Espasa

Consultation : CEDRATS – La Gryffe



Groupe de Réflexion et Information sur la Prison

Posté: novembre 13th, 2011 | Auteur: | classé dans: 1990 (années), Consultation : CEDRATS, Prison - Justice | Mots-clés: | Commentaires fermés sur Groupe de Réflexion et Information sur la Prison

Lorsqu’on habite un quartier dit résidentiel, on peut voir, lorsqu’on arrive l’été, villas et beaux immeubles se vider de leurs occupants fuyant de la chaleur de la ville pour gagner la mer, la montagne, ou quelque résidence secondaire.

Mais il faut bien constater que ce sont justement les plus mal logés et ceux qui auraient parfois le plus besoin de « partir » qui resteront chez eux et supporteront comme ils le pourront la canicule, enfermés dans leur H.L.M. ou sous les toits d’une grande ville. Sans parler de ceux qui quitteront leur logement non pour cause de vacances… mais pour cause d’expulsion.

« (…) mais comment ne pas souhaiter que tous aient un jour le d’organiser leurs loisirs à leur guise en compagnie de leurs enfants, plutôt que d’être considérés comme des citoyens de seconde zone dont on « s’occupe » en leur offrant des « opérations anti-été chaud » ? Sans doute l’avons nous déjà écrit et répété maintes fois : pour nous pas de « prévention » sans justice sociale (…)

Et nous n’oublierons pas non plus les prisonniers : ceux qui passeront l’été à croupir dans des cachots sordides ou de sinistres quartiers d’isolement. Ceux qui étoufferont entassés à quatre dans 9m2 à côté de leur W.C. commun en voyant à peine la lumière du jour.

Et que seront les vacances pour les familles et enfants de détenus ?

Que vacances, détente et repos ne soient pas synonyme d’oubli. »

Revue du GRIP, BP 3010, 69391 Lyon Cedex 03

Direction de la publication : MMe Blanc-Bernard, M. Desarmeaux

1985>1992

n°52 Juin-Juillet 1992

Consultation : CEDRATS


Hospitalier de Lyon (L’), hospitalier Lyonnais

Posté: novembre 16th, 2011 | Auteur: | classé dans: 1960 (années), Syndicalisme | Mots-clés: | Commentaires fermés sur Hospitalier de Lyon (L’), hospitalier Lyonnais

Archives Municipales 2C400354 / état des collections : n°86 1960-n°178 1981

Bulletin du syndicat du personnel des Hospices de Lyon,

Force Ouvrière. 29 et 30 quai Jules-Courmont, Lyon.

Consultation : Archives Municipales