URDLA … Ça Presse… – Utopie Raisonnée pour les Droits de la Liberté en Art

(Source Site internet) –

« Depuis 32 ans l’URDLA, dans la fidélité à son passé, semble chaque année à un tournant décisif de sa vie. Née du refus par quelques artistes de la disparition d’un patrimoine technique et artisanal, elle n’en finit pas de réinventer sa modernité en préservant une tradition. Devenue Centre international de l’estampe, son développement se poursuit sans ignorer les crises qu’affronte la création actuelle.(…) À Villeurbanne, l’URDLA a le privilège de servir cette cause avec un retentissement international. ».

« De 1978 à 1986, à Lyon, l’URDLA, en sauvant et en restaurant des presses historiques, prouve en œuvrant que la défense du patrimoine est aussi une ouverture sur le vif.

En 1983, le ministère de la Culture remet à l’URDLA la plus imposante des presses jamais construites. (…) Au 207, rue Francis-de-Pressencé à Villeurbanne, vous trouverez sur 1000 m2 : une galerie d’exposition, les bureaux de l’URDLA et leur documentation, l’atelier de gravure en taille-douce, l’atelier de lithographie, l’atelier de typographie, le magasin où sont accessibles les 1500 estampes éditées à ce jour. ».

(N°23) Décembre 2004 – Appel contre le torpillage : « Alors que l’un après l’autre les ateliers de lithographie et de taille-douce ferment, que le seul salon consacré à l’estampe, le SAGA, a disparu, que l’édition littéraire se concentre dans les mains de quelques négociants, l’URDLA représente une sorte de prodige : le Centre international de l’estampe et du livre est universellement reconnu pour la qualité et la liberté esthétiques et techniques de ses productions (…) ».

Ça presse, bulletin trimestriel de l’URDLA, Centre international de l’estampe et du livre.

1ère année de publication : 2005 / DNA : 2009

Périodicité trimestrielle

Directeur de publication : Max Schoendorff

207 rue Francis-de-Pressensé – 69100 Villeurbanne.

urdla@wanadoo.fr – 04 72 65 33 34

Consultation : CEDRATS

Vertige des Pentes

Bulletin de Lyon Ecologie pour Autogérer le 1er (LEA-1er).

« LEA est une association née en septembre 1989 et qui a pour origine la liste écologiste « Lyon Ecologie pour Autogérer le 1er », présente aux élections municipales de mars 1989. Elle a pour but de développer toute action visant à la défense de la personne dans la cité et la société, au respect et à l’amélioration de l’environnement et du cadre de vie par la prise en compte prioritaire des équilibres sociaux et écologiques : logement, pollution, énergie, circulation, etc. »

LEA 1er – 3 rue Camille Jordan – 69001 Lyon

Contact : J-C. Chausse – 04 78 29 86 22

Consultation : CEDRATS

Ville à vélo (La), La lettre

Bulletin d’information des adhérents à l’association de « La ville à vélo ».

1ère année de publication : 2001 / DNA : 2008 

Périodicité : – « Irrégulomadaire » –

C/o Pignon sur rue – 10 rue St. Polycarpe – 69001 Lyon

Contact : nathalie_bedel@yahoo.fr / lyonvilleavelo@fubicy.org

Consultation : CEDRATS

YAKHA

YAKHA 

Edité par Tan-Kha – 2 Décembre 2002 : « Le 11 septembre, le 11 septembre, le 11 septembre !! Ok ! Ok ! C’est affreux, mais ne croyez-vous pas que les médias et les Etats en font un peu trop, en comparaison le 11 septembre 2002, 35 615 sont morts de faim, et là 0 article de presse 0 minute de silence, 0 niveau d’alerte, etc. Ce 11 septembre permet de criminaliser la pauvreté.

TAN KHA faire YA KHA. Ce n’est pas changer le monde car l’entreprise serait compliquée, mais c’est déjà changer son monde… Quand on est enfant, il y a des évidences (pour qu’il y ait moins de crimes, il faudrait interdire la production des armes à feu) et puis avec l’âge comme on dit, on se formate à ce monde dans lequel on est tombé, à ce que l’on entend souvent, ‘de toute manière, on ne peut rien faire’ . Pensons, au contraire que l’on peut tout faire, afin de ne pas être dans la position de ceux qui se contentent et croient par la même occasion, que nous aussi, nous nous suffirons de miettes et laisserons la moitié de cette planète crever de faim. C’est la démographie,
disent-ils. Quand ces réactions viendront, prenez garde aux intégristes et fascistes, de n’importe quel camp. Ah ! Comme c’est bon de rêver à un monde où les mots ‘Egalité, Fraternité, et Liberté’ auraient un sens.

1ère année de publication : 2002

Périodicité irrégulière

209 avenue Emmanue Clément – 69590 Saint Symphorien/Coise.

Contact : tankha@aol.com

Consultation : CEDRATS

Zaâma d’banlieue

Zaâma d’banlieue

Mai 1981 :« Il y a un an, Kader a été assassiné par le gardien d’immeuble en bas de chez lui, dans une cité à Paris. Il y a cinq mois Lahouri a été tué à Marseille, cité des Flamands, par un flic. À chaque fois dans ces cités touchées, c’est la révolte folle, la rage et les jeunes de ces cités s’organisent après avoir été écorchés de près.

À Lyon, nous sommes nombreux à penser qu’il y a assez de raisons, même trop, pour que nous soyons révoltés. Collomb (maire de Lyon) a bien évidemment institué le seuil de tolérance dans de nombreux quartiers, depuis déjà très longtemps.

Dans les banlieues : à Villeurbanne, Charles Hernu (PS) a fait raser Olivier de Serre en relogeant de façon arbitraire et pas toujours convenable, les habitants délogés. D’autre part, c’est un des premiers à préconiser des milices anti-immigrés (…).

Nous voulons prendre en main directement la lutte qui nous concerne (la répression, les tabassages, délogements, expulsions…). Rechercher ensemble des moyens de lutte plus efficaces que ce qui est proposé par l’extrême gauche désabusée ou par les cathos lassés par la bonne cause. Pour nous réapproprier nos lieux de vie, de loisir pour que nos cités ne soient plus des cités de flics ou du PC. (…) D’autre part, autour d’un journal fait par ces mêmes jeunes (français, algériens, marocains, portugais, etc. (…).

Formons des groupes, des collectifs dans chaque cité, reprenons les centre sociaux, les MJC comme lieux enfin utiles servant à la population des quartiers? Pour qu’ils ne servent plus de quartier général àl’encadrement social (flicage). »

« Place du Pont : 200 policiers lâchés dans un quartier immigré un peucomme au bon vieux temps interpellent 554 personnes, fouillent 132 véhicules, appréhendent 54 personnes ; 20 parmi elles sont gardées à vue, une est arrêtée. Le lendemain, 2000 personnes, toutes aussi indignées les unes que les autres, mais oh combien faibles et dépourvues devant une telle opération. (…)

Dès maintenant, approprions-nous le droit de vivre ici, sans aucune condition. Déjà, 90% des expulsés vivent ici clandestinement, quitte à se faire pincer et coffrer pour trois ans. Les flics font figure de rigolos, et leur impuissance devant tous les mecs qui passent à travers leurs filets est évidente. Puisque l’Etat refuse de nous donner un statut juridique, il faut dès maintenant s’organiser, créer un réseau de planques pour les expulsés, ce qui nécessite alors une implication personnelle de tous les sympathisants.

Imaginons que les 2000 personnes qui manifestaient Place du Pont se sentent concernées ; 2000 expulsés… ».

C/o CEP, 44 rue St. Georges – 69005 Lyon.

1ère année de publication : 1981

Consultation : CEDRATS